• Critique de Face à la mort de John Alan Schwartz

    Année: 1978

    Réalisé par John Alan Schwartz

    La critique de Cannibal Cunt:

    Seconde critique ciné sur Horror Vision depuis la reprise du blog, et l'on s'attaque cette fois au premier Face à la mort, pilier fondateur du shockumentary ! Je comptais en effet proposer des chroniques autour du shockumentary/death movies prochainement et commencer par LE classique du genre m'a semblé plutôt approprié. Film culte qui donnera naissance à 5 suites, ainsi qu'à de nombreuses autres séries marchant dans ses pas (Banned in America, Traces of Death, Faces of Gore, Death Files...), Face à la mort aura un énorme impact à sa sortie et se verra banni de multiples pays. Car s'il faut dire que de nos jours le film de John Alan Schwartz a été dépassé largement en terme d'atrocités réelles et représentations brutales de la mort à l'écran, en 1978 c'était assez inédit et ce même si l'on sait maintenant qu'environ 40% des séquences étaient truquées. Mais alors, Face à la mort ça vaut encore le coup à découvrir de nos jours, en dehors de son aspect historique ? C'est l'objet de ce présent billet !

    Critique de Face à la mort de John Alan Schwartz

    Je me souviens que lors de mon premier visionnage de Face à la mort, il y a 2/3 ans donc plutôt tardivement par rapport à ma découverte de bons nombre de films extrêmes, j'avais été surpris de l'efficacité de celui-ci. Je m'attendais à quelque chose de plus intéressant à découvrir pour son rôle dans l'histoire du shockumentary que pour ce qu'il contenait réellement, peur de m'ennuyer et j'ai eu la bonne surprise de me tromper : si j'avais trouvé ça inégal, l'ambiance m'avait quand même parlé. Constat que je valide à nouveau au revisionnage effectué pour l'écriture de cette critique, il y a une aura macabre non pas seulement autour du film avec sa réputation sulfureuse mais également pendant le visionnage en tant que tel. Au moins pendant une partie des segments. Le début la dessus est assez fort pour poser une atmosphère pesante et y immerger le spectateur. Face à la mort commence sur une opération à cœur ouvert, plutôt impressionnante, qui aboutit au décès du patient opéré. Puis des images de cadavres dans une morgue nous sont présentées sur fond d'une musique inquiétante. On voit ensuite le déroulé d'une autopsie, l'écran se figeant par moments pour y imprimer le générique. Une fois l'autopsie achevée, on découvre le personnage du docteur Francis Gross qui après s'être débarrassé de ses gants et de sa blouse maculés de sang, nous parle face caméra de comment la mort a marqué son existence. Il nous annonce ce qui va suivre : un tour d'horizon à travers les différents visages de la mort. Après une séquence onirique ou l'on suit le point de vue d'un cercueil descendant sous terre lors d'un enterrement, on quitte l'introduction pour une scène ou la caméra filme des cadavres momifiés. L'éclairage est inquiétant, la musique aux sonorités distordues à nouveau présente est particulièrement réussie et la voix du narrateur accompagne bien le tout (celle-ci va nous suivre pendant tout le reste de Face à la mort pour commenter chacune des séquences). Cette mise en bouche est vraiment très bonne et mets tout de suite dans un état d'esprit propice au reste du film.

    Critique de Face à la mort de John Alan Schwartz

    Après ça on aura un peu de tout, j'en ferai un petit tour d'horizon (non exhaustif) juste en dessous. Le meilleur moment de Face à la mort sera au final sans doute son début des plus réussis, mais l'ambiance sombre persistera globalement tout du long. Et ce même en sachant pertinemment qu'une bonne partie des séquences sont truquées ! Une scène, peut-être la plus connue du film, comme celle de l'exécution par chaise électrique reste franchement immersive tout en sachant qu'elle n'est pas réelle. Il y a une sorte de fascination en fait qui découle du visionnage de Face à la mort. Et les commentaires réguliers du narrateur sur les images évite l'écueil du simple voyeurisme sans but, malgré un ton moralisateur parfois lassant. Mais alors qu'est ce qu'on trouve dans ce panorama autour de la mort ? Une partie des images se concentrent sur les animaux et le traitement que leur réserve les hommes. Nous aurons des images d'abattoir ou l'on égorge vaches et moutons, un combat organisé entre pitbulls, la chasse et la cuisson d'un singe par une tribu en Afrique, le massacre de phoques pour leur fourrure... au niveau de ces séquences elles sont à priori toutes authentiques, mise à part celle ou un singe est mis à mort violemment par des touristes dans un restaurant pour qu'ils puissent lui dévorer la cervelle. Nous aurons dans un autre registre tout un tas d'accidents. Morts accidentelles par noyade, chute dans une grotte, saut en parachute raté, les conséquences du déraillage d'un train ou du crash d'un avion... Et des choses aussi diverses autour de la mort que d'autres images d'autopsie, une fusillade, une exécution par décapitation dans le désert, des images sur les conséquences de la maladie et de la malnutrition dans les pays pauvres, des images d'archive sur la guerre et les camps de concentration, l'opération d'un chien pour la recherche sur le cancer, un suicide... Le panel est varié et seules deux séquences fake m'auront un peu sorties du film : tout d'abord une assez hilarante ou un culte supposé pratique un sacrifice humain, se partage des bouts crus à dévorer avant de débuter une orgie avec quelques plans de donzelles maillot tombé aux seins recouverts de sang. Si une telle séquence aurai bien éclaté mon cœur de bisseux ailleurs ici ça fait tâche. Aussi cette autre séquence sur la fin avec une médium, tout à fait risible avec même un effet bien kitch de halo vert rajouté au montage !

    Critique de Face à la mort de John Alan Schwartz

    Au final Face à la mort s'avère toujours intéressant à découvrir de nos jours. Inégal sans doute, malheureusement pas toujours authentique dans ce qu'il montre (même si NON tout n'est pas faux comme on peut le lire parfois) et tout n'est pas intéressant. Mais quand même, ça a mieux vieilli que ce que j'imaginai et comme je le disais au dessus une aura macabre flotte toujours sur le métrage. Donc pour ceux qui ne l'ont pas vu, allez le voir ! Ce n'est pas l’œuvre ringarde qu'on pourrait s'imaginer ni une simple compilation morbide sans rien derrière. Au passage un autre billet arrivera courant octobre sur Face à la mort II :)


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    Critique de Patrick Still Lives

    Année: 1980

    Réalisé par Mario Landi

    La critique de Cannibal cunt:

    Avertissement: la critique suivante contiens des spoilers, rien de trop grave je pense mais vu le film en question c'est plutôt pas mal de s'y jeter sans savoir à quoi s'attendre ;)

    Horror Vision est de retour ! Et après trois longues années d'inactivité sur ce blog, le choix du film à chroniquer pour le retour n'était pas facile... Réflexion faite, j'ai choisi de mettre en avant un film bis italien du début des années 80. Que le lecteur se rassure ce retour se fait cependant directement dans la déviance et l'hémoglobine, Patrick Still Lives étant une des pièces de cinéma d'exploitation italien les plus folles qui soit !

    Critique de Patrick Still Lives

    Si Patrick Vive Ancora (sous son nom d'origine italien) se présente de prime abord comme une suite non officielle du Patrick de l'australien Richard Franklin, thriller fantastique réputé sorti deux ans avant le film qui nous intéresse aujourd'hui, il n'a en réalité quasiment rien à voir. Première scène du métrage: on voit Patrick et son père sur le bord de la route leur voiture en panne, un van passe et l'un des passagers jette quelque chose par la fenêtre. Patrick se le prend en pleine face et hurle, le visage ensanglanté, dans une scène aussi vite expédiée et kitch qu'amusante. La suite du film se passe dans la clinique/maison de repos du père de Patrick, médecin. Alors que ce dernier se livre à d'obscures expériences autour de son fils plongé dans le coma depuis l'accident, le film nous fait suivre en parallèle 5 personnes venues passer un séjour dans la clinique. Même si leur présence ici est à priori anodine au départ, toutes les personnes présentes ont comme point commun d'être venues sur place après avoir reçu des lettres de menace concernant certains de leurs secrets. Tandis qu'elles cherchent à savoir qui a bien pu envoyer ces courriers et quel est le but du chantage, elles vont toutes devenir la victime au fur et à mesure du film d'attaques paranormales.
    Comme c'est peut-être visible à la lecture de ma tentative de résumé, Patrick Still Lives est doté d'un scénario particulièrement stupide sur les bords, avec des tas d'éléments incohérents ou non-sensiques venant heurter le spectateur au fur et à mesure du film. Je ne vais pas trop en dire pour ne pas gâcher la surprise plus que nécessaire mais la fin par exemple comporte une énorme incohérence scénaristique. Une idiotie parfois déconcertante, parfois franchement amusante mais qui ne viendra jamais entacher le plaisir passé devant Patrick Still Lives. Pour finir de poser le cadre, le métrage est réalisé par Mario Landi, principalement un réalisateur pour la télévision mais qui terminera sa carrière avec deux des films les plus crapoteux et hallucinants du cinéma bis italien : celui qui m'intéresse aujourd'hui donc ainsi que Giallo A Venezia, giallo particulièrement sordide sur lequel je reviendrai peut-être un jour.

    Critique de Patrick Still Lives

    Mais alors pourquoi aborder ce film sur un blog dédié au cinéma déviant ? Parce que Patrick Still Lives multiplie les séquences hallucinantes tout simplement ! Un esprit malsain flotte sur tout le film, riche en gore, très fourni en nudité et d'un mauvais goût à toute épreuve. Niveau morts brutales on aura le droit notamment à un pauvre bougre ébouillanté à mort dans une piscine, un autre finissant la tête empalée sur un crochet, une jolie décapitation par une vitre de voiture... Et puis surtout, LA scène du film, qui justifie à elle seule le présent billet : une séquence d'anthologie ou un tisonnier en mouvement sous l'influence des pouvoirs paranormaux de Patrick vient empaler à travers tout le corps une malheureuse jeune femme allongée sur une table, la pénétrant par le vagin pour ressortir par la gorge ! Et bien sûr tout est montré de manière explicite, gros plans à l'appui ! Sans aucun doute un des moments les plus violents de l'histoire du bis italien, à mettre au panthéon du genre avec des scènes comme celle du fœtus d'Anthropophagous ni plus ni moins. En plus de ces morts bien craspec', Patrick Still Lives déballe une nudité décomplexée sous les yeux du spectateur (c'est bien simple, 100% du casting féminin finit dénudé à un moment ou un autre) et souvent avec un esprit bien pervers. Ainsi cette séquence ou Patrick hypnotise avec ses pouvoirs une jeune fille (la très jolie Andrea Belfiore) pour l'attirer à lui, la faire se déshabiller et se frotter nue à son lit avant de subir une pénétration invisible.

    Alors scénario stupide juste rattrapé par des moments hallucinants ? Pas seulement fort heureusement, car même si je mets logiquement l'accent sur ces moments la, Patrick Still Lives bénéficie aussi d'autres qualités à commencer par une ambiance d'ensemble vraiment sympathique qui rappelle pas mal... Le Manoir de la terreur, une de mes bisseries rital favorites. Et ce n'est d'ailleurs pas du qu'au hasard ! Une partie du film a en effet été tournée dans les mêmes décors, ce qui est assez voyant par moments. La musique est aussi similaire entre les deux films, composée par Berto Pisano dans les deux cas. Enfin pour finir dans les points communs les deux métrages ont au casting Mariangela Giordano, qui dans Le Manoir de la terreur incarne la mère du marquant homme-enfant Peter Bark ! L'ambiance m'a pas mal parlé en tout cas, appuyé par une réalisation de franchement bonne facture pour une production douteuse de ce style. 

    Critique de Patrick Still Lives

    Enfin voilà pour ce qui est de Patrick Still Lives ! Pur film de taré au mauvais goût à toutes épreuves qui saura je pense plaire autant aux amateurs d'extrême par sa déviance et sa poignée de scènes bien méchantes qu'aux bisseux par son ambiance loin d'être inintéressante. J'espère que la lecture du présent billet vous aura intéressé et donné envie d'aller découvrir cette pièce de cinéma barré !

    P.S : Je reviendrai prochainement avec d'autres chroniques, rapidement j'espère, et si je compte bien me remettre à critiquer des péloches extrêmes dans la lignée de ce qui se faisait avant sur Horror Vision, je ne m'interdis pas d'aller remettre les pieds dans du cinéma bis (qui honnêtement est ce que je préfère).


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  •  Critique de Légende de David Gemmel

    Auteur: David Gemmel

    Titre original: Legend

    Parution: Édition originale en 1984, 2000 pour la traduction française

    Résumé: Druss est une légende.
    Ses exploits sont connus de tous. Surnommé le Capitaine à la Hache lors de ses plus grandes batailles, il aurait pu devenir riche en tant que mercenaire... Au contraire, fuyant la célébrité, il a choisi de vivre retiré loin des hommes, perché au sommet d'une montagne glacée. Il a remisé son arme, vivant reclus, se contentant de la compagnie de quelques léopards des neiges. Il attend patiemment son ennemie de toujours: la Mort.
    Dros Delnoch est une forteresse imprenable.
    Passage indispensable à la frontière de deux mondes, c'est l'ultime limite qu'une armée doit impérativement franchir si elle veut envahir l'Empire drenaï.
    Protégée par six remparts, elle est la place forte mythique. C'est aussi le dernier foyer d'une résistance désespérée, car tous sont déjà tombés devant l'envahisseur nadir. Il lui faudrait un atout déterminant, un chef charismatique : Druss, le vieux guerrier.
    Quand Conan rejoint Fort Alamo, un demi-million d'envahisseurs barbares face à huit mille guerriers barricadés... Druss pourra-t-il faire la différence ? Deux mains ancrées à une hache pour empêcher une tragédie...

    La critique de Cannibal Cunt:

     Warning : contiens des spoilers, il est mieux d'avoir lu le livre avant de lire le présent billet.

    Je ne lis que rarement de la Fantasy. Pas que je n'aime pas le genre mais les cycles en plusieurs tomes sont la norme dans le style et je suis assez peu friand des histoires en multiples volumes interminables que je finis souvent par abandonner en cours de route (parfois dès le premier tome lu comme pour La Belgariade de David Eddings, et ce même si Le Pion blanc des présages était un roman sympa). Je préfère généralement me plonger dans plein de petits romans différents et d'ailleurs j'agis un peu de même niveau ciné, je regarde beaucoup de films et jamais de séries.

    Mais bon un ami m'avait prêté Légende de David Gemmel et j'ai fini par m'y mettre. Déjà la dessus bon point : si c'est censé être le premier tome du cycle de Drenaï ça se lit très bien en tant que roman seul. Visiblement d'ailleurs le second tome se passe un siècle plus tard et on serait donc plus sur des sortes de chroniques autour de l'histoire de l'empire Drenaï. Sur le reste c'était pas du tout difficile à lire mais relativement moyen quand même. L'écriture de Gemmel est vraiment simple mais réussi à maintenir l'envie de continuer, j'ai lu Légende sur 3 jours seulement, par contre il n'est pas le plus talentueux pour construire des personnages. Ceux-ci ont rarement des personnalités vraiment distinctes ou originales pour ceux en second plan, les principaux n'ont pas une psychologie suffisamment approfondie pour que l'on s'y attache vraiment. Pour exemple la romance entre le personnage principal (avec Druss) Regnak et Virae n'apporte franchement rien de spécial, n'est pas particulièrement intéressante voir franchement cul-cul et la mort de cette dernière n'aura suscité chez moi aucune émotion particulière. Quand à sa résurrection en fin de volume elle m'a même fait soupirer et ne sert à rien à part vouloir une happy end.

    De même au niveau des thèmes même sans lire beaucoup de Fantasy ça sent le déjà rabâché et il y a parfois un vrai potentiel de réflexion jamais exploité. Druss par exemple, on parle de lui comme d'une légende dans le livre, un guerrier dont les exploits ont étés romancés et sont connus de tous dans l'univers du bouquin. Pourtant Gemmel souligne tout de même que dans la réalité de son histoire, Druss est un homme qui commence à avoir de l'âge (60 ans) et que bien qu'ayant encore des capacités extraordinaires pour une personne âgée, il n'est plus comme avant niveau capacités (on évoque souvent ses douleurs au genou). Mais c'est vraiment survolé et ça ne va jamais au delà d'un mince trait. Que ressens-t'il vraiment ce Druss ? Qu'est ce que ça fait d'avoir une réputation de légende imbattable tout en ayant conscience de ses propres faiblesses ? De se sentir faiblir quand le combat est toute sa vie ? c'est un exemple que je prend comme ça mais c'est le genre de thématiques qui auraient pu être intéressantes à approfondir pour donner du poids aux personnages et ne pas en faire de simple presque archétypes.

    Sur l'histoire du roman on est sur un thème plutôt classique aussi : une armée en sous-nombre devant affronter une autre armée gigantesque. L'essentiel de Légende se consacre à la préparation à la bataille puis la bataille elle-même. Bon la dessus c'est classique mais fonctionnel, c'est pas de la Fantasy ultra complexe du tout niveau univers et enjeux mais c'est pas si mal. La bataille qui prend facilement 200 pages avec la résistance désespérée pour tenir les murs de la cité qui tombent tous un par un a son charme, certaines descriptions sont pas mal et ça n'hésite pas à balancer quelques saillies gore. Un peu répétitif peut-être. Par contre sur la fin on a deux/trois évènements qui font un peu Deus Ex Machina bof bof... j'aurai préféré une fin à la 300 : la défaite inéluctable et la mort dans l'adversité qui aurait été dans la logique du roman jusque là.

    Lecture correcte mais sans plus donc, ceci dit ça me donnerai presque envie de relire de la Fantasy malgré tout car j'aime bien ce genre d'univers mine de rien. A voir si je ressortirai la Belgariade du placard ^^


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  • Salutations !

    Mise à jour des diverses acquisitions que j'ai pu faire depuis la dernière fois, avec inclus les rentrées du Sadique Master 2019 !

    Mise à jour achats octobre 2018, hiver 2018/19

    Mise à jour achats octobre 2018, hiver 2018/19

    Mise à jour achats octobre 2018, hiver 2018/19

    Mise à jour achats octobre 2018, hiver 2018/19

    Mise à jour achats octobre 2018, hiver 2018/19

    Mise à jour achats octobre 2018, hiver 2018/19

     


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  • Bonjour !

    Petite mise à jour aujourd'hui avec les achats effectués cet été, avec une bonne partie d'entre eux venant du BUT Film Festival :)

    (ne sont pas présentes sur les photos un nombre assez important de VHS que j'ai pu récupérer dans le mois avec un gros lot, que j'avaient déjà postées ailleurs et que je ne remet pas ici)

    Mise à jour achats été 2018

    Mise à jour achats été 2018

    Mise à jour achats été 2018

    Mise à jour achats été 2018

    Mise à jour achats été 2018


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  • Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Le blog ayant été en pause depuis un bon moment (plus d'un an), je n'ai pas il y a quelques mois fait le compte-rendu de cette édition 2018 du Sadique Master Festival, seul évènement entièrement consacré au cinéma extrême en France, auquel j'ai pu participer pour la première fois cette année.

    Puisque l'activité va reprendre ici, pourquoi pas donc commencer par la, avec il est vrai 4 mois de retard. Voici donc le compte-rendu du festival sur ces deux premiers jours, n'ayant pu rester le dimanche, avec un court avis sur chacune des œuvres proposées.

    L'article sera découpé entre les longs métrages et les courts/moyens métrages diffusés ces deux jours avec un rapide mot sur la performance pornovomitgore à la fin. 

    Les longs-métrages 

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    DIS (2017) Adrian Corona) (-16) (60 minutes) (Horreur/Drame) (USA/Argentin)  

    Séance d'ouverture du festival, Dis est un film intriguant proposant une relecture très sombre du mythe de la mandragore. La réalisation d'Adrian Corona, même si simple, montre un soin réel apporté à l'œuvre qui vaut surtout pour son atmosphère particulière, à la fois étrange et malsaine. La prestation de Bill Oberst Jr est plaisante, ce qui n'est pas forcément le cas de celle des autres acteurs, lors des séquences de flash-back en noir et blanc (dont l'esthétique est par ailleurs réussie ceci dit). Une curiosité à découvrir surtout pour son ambiance captivante et qui plaira surement aux amateurs de films contemplatifs, sous réserve de réussir à se laisser immerger dans l'histoire qui nous est narrée. 

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Cat sick blues (2015) (Dave Jackson) (-16) (94 minutes) (Drame/Gore/Comédie) 

    Mélange de comédie et de slasher gore, Cat Sick Blues est un film sympathique ayant néanmoins quelques défauts gênants. Au niveau des bons points, on peut déjà noter la réalisation, qui sans être extraordinaire reste très correcte et propre (surtout quand on voit les laideurs visuelles que nous sert parfois le cinéma underground). Le gore n'est pas abondant, ce qui n'empêche pas le métrage d'avoir au compteur quelques scènes de meurtres à la fois brutales et franchement funs. La bande son est également un plus et pour ce qui est des performances des acteurs je n'ai pas grand chose à reprocher dessus. Pour l'humour du film, c'est à double tranchant, car si certaines blagues font mouche, d'autres sont un peu navrantes. Le scénario est assez original et décalé mais s'égare pas mal par moments. A ce titre, sans trop en dire, cette longue scène dans un hôpital vers la fin à la fois inutile (puisque le film l'annule juste après) et ennuyeuse, est le meilleur exemple. D'ailleurs cette séquence plombe vraiment la fin du métrage laissant le spectateur sur un sentiment mitigé, la ou la fin aurait été plutôt réussie et le tout moins longuet si elle avait tout simplement été coupée. Cat Sick Blues malgré des fautes de goût ça et la reste un film sympathique, il a d'ailleurs obtenu le prix du jury, et vaut un coup d'œil si la formule slashers gore comique et décalé vous parle. 

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Torment (2018) (Adam Ford) (-18) (74 minutes) (Horreur/Drame) (Italien) 

    Torment est la grosse déception de ce festival. C'était une des œuvres que j'attendais le plus et c'est au final celle qui m'a le moins plu. C'est bien simple, le film échoue sur tous les aspects. L'atmosphère pesante qu'il essaye d'installer ne prend quasiment jamais, et l'on s'ennuie ferme. Les cris et gémissements répétés, le film ne comportant aucun dialogue, deviennent vite plus pénibles que terrifiants si ce n'est insupportables par moments. Les performances des acteurs sont globalement juste grotesques, ne parvenant qu'en de très rares moments à faire passer les émotions voulues au spectateur. La psychologie des personnages est donc de ce fait caduc, on n'arrive pas à se mettre dans la peau de la victime ni même à éprouver de l'empathie. Pour couronner le tout, si le postulat de dépars de dépeindre de manière crue et intense une violence sexuelle rarement vue m'intriguait, même cet aspect la est décevant puisque le métrage n'est pas si extrême que ça. Pour prendre un exemple concret, la séquence de la bouteille. La montée de tension lors de cette scène est plutôt réussie. Le personnage de Gacy montre un objet à la victime, en l'occurrence un godemichet, qu'il compte lui introduire dans le rectum. Devant les protestations de celle-ci, il en propose plusieurs autres de plus en plus imposants jusqu'à arriver à une grosse bouteille en verre. Plan audacieux vu de l'intérieur de l'orifice avec le goulot pénétrant le jeune homme, le malaise commence à se faire ressentir et l'on s'attend à ce que cela aille de plus en plus loin jusqu'à causer des dégâts importants. Il n'en sera rien, quelques va et vient avec le goulot et hop terminé, circulez y'a rien à voir. Grosse déception donc pour Torment, dont seul l'esthétique visuelle semble pouvoir être sauvée. Résultat vraiment mauvais donc et un visionnage peu recommandable. 

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Visions of suffering – Final director’s cut (2018) (Andrey Iskanov) (-18) (85 minutes)  

    Après des années de production, le retour tant attendu d'Andrey Iskanov, l'un des cinéastes extrême le plus célèbre, apprécié et talentueux. C'est aussi le gros évènement de ce festival pour ce qui est des œuvres diffusées, cette bombe du cinéma extrême étant diffusée en exclusivité mondiale (la grande classe). Et l'attente ne fut pas vaine. Je ne vais pas discourir longtemps sur ce film, c'est avant tout une expérience à vivre soi même et qui n'est pas facile à retranscrire. L'ambiance de cauchemar qui se dégage du film est hallucinante, certains passages étant authentiquement terrifiants. Le métrage enchaine de nombreuses idées et trouvailles étonnantes et Iskanov fait preuve d'une véritable maestria dans son montage et sa réalisation. L'histoire que narre le film est très obscure voir incompréhensible en dehors des grandes lignes mais son intérêt ne réside pas la, Visions of Suffering - Final Director's Cut étant avant tout une expérience visuelle hors du commun. On regrettera seulement la vulgarité non nécessaire de certains dialogues et l'heure de diffusion trop tardive lors du festival. Je pense que ce film, clairement expérimental, ne plaira pas à tout le monde mais néanmoins pour ceux qui ne sont pas réfractaires à ce type de cinéma précipitez vous dessus dès qu'il sortira (sortie prévue d'ici la fin d'année chez Last Exit Entertainment), je doute que l'on ai beaucoup mieux dans le style avant un bon moment. 

    Voila pour ce qui est des longs-métrages que j'ai pu voir, soit l'intégralité de ceux projetés le vendredi et samedi. Je devais normalement voir Deep Web XXX mais ce dernier sera finalement décalé au lendemain (apparemment je n'ai pas loupé grand chose, et bon je doute avoir tenu éveillé un film de plus :p). 

    Les courts et moyens métrages

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Les fines bouches (2016)  (Julien de Volte et Arnaud Tabarly) (-16) (17 minutes)  

    Un court métrage comico-gore français qui mise à fond sur le gore potache et l'absurde. Si apparemment les spectateurs présents ont plutôt appréciés ce n'est pas vraiment mon cas. Les scènes sanguinolentes sont sympathiques mais l'humour est d'une lourdeur absolue, je n'ai juste pas été amusé du tout. Et comme Les Fines bouches mise à fond cette carte la, autant dire tout de suite que j'ai plus été agacé qu'autre chose durant le visionnage. Je n'irai pas jusqu'à le déconseiller non plus car c'est sans doute aussi une question de sensibilité personnelle, visionnez la bande annonce présente sur internet, elle est assez représentative du délire de ce court et ça devrai vous fixer sur si cela peut vous plaire ou non. 

    Je passe très rapidement sur Eternal Craving of Neon Limbonic Climax de Frédérick Maheux, notamment responsable de l'intéressant ANA et du documentaire de bonne facture Art/crime qui de par sa très courte durée (4 minutes à peine) et son contenu tiens surtout de l'expérience visuelle. Trouvable en entier sur le net normalement. 

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Dare divas (2018) (Kasper Juhl)  (27 minutes) (Horreur) (-16) (Danois)   

    Seconde exclusivité mondiale de cette édition 2018 du Sadique Master Festival avec Dare Divas, le nouveau moyen métrage du prolifique et talentueux réalisateur Kasper Juhl (d'ailleurs présent lors de la projection), capable de très bonne choses comme de choses assez moyennes. Cette nouvelle œuvre se situe un peu entre les deux. L'histoire, par sa simplicité (deux jeunes femmes qui relèvent un défi de partir à l'aventure en autostop et qui se retrouvent à faire une mauvaise rencontre), arrive à être convaincante, ce qui passe aussi par la réalisation et le jeu d'acteur plutôt juste. Sans trop en dévoiler sur la fin, même si elle est prévisible voir inéluctable, elle aurait pu être plus graphique et violente, si bien que le choc escompté n'est pas totalement au rendez-vous. Le sujet du film en lui même n'est pas non plus des plus original et on a quand même l'impression que le réalisateur recycle un peu toujours les mêmes thématiques et procédés (notamment dans la façon de filmer). Malgré tout ça reste un moyen métrage honorable compte tenu des conditions dans lesquelles il a été tourné et du budget famélique. A voir pour les fans de Kasper Juhl.  

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Et le diable rit avec moi (2018) (Rémy Barbe) (25 minutes)  (-16) (Horreur) (Français)

    Et le diable rit avec moi est une œuvre à la fois brutale et touchante, qui ne laisse pas indifférent. Les thématiques développées sont vraiment intéressantes, surtout quand l'on est soit même cinéphile et collectionneur. La réalisation de Rémy Barbe est soignée, le jeu d'acteur convainquant, la bande son est bonne… Pas grand chose à reprocher à ce métrage indéniablement réussi et qui constitue mon coup de coeur du festival avec le dernier Iskanov. Fortement recommandé donc ! 

    Un mot rapide sur Autopsy Lights de Pierre-Luc Vaillancourt, court métrage projeté avant la séance du Iskanov : mauvais. L'appellation hypno-érotique m'intriguait mais il s'agit en fait juste de pornographie pseudo artistique assommante, avec notamment une femme se masturbant avec un pied de cochon pendant que le réalisateur fait mumuse avec des lasers verts. Chiant à mourir et sans aucun intérêt, à oublier purement et simplement. 

    A souligner également la diffusion en amont de certains films de courts métrages réalisés par No Reason, la bande ayant notamment fait quelques courts métrages-annonces dispos sur le net pour le festival justement. Les deux parodies de sitcom nommées Une famille en bronze étaient franchement très drôles et réussies dans leur délire, j'espère donc que l'on aura l'opportunité de les revoir quelque part (une mise en ligne pourrait être sympathique, maintenant le festival passé). 

    Compte-rendu Sadique Master Festival 2018

    Cette édition a également été l'occasion d'assister à un spectacle, une première dans l'histoire du festival, et pas n'importe lequel puisqu'il s'agissait d'une performance Pornovomitgore, un spectacle dérangé que l'on pourrait définir comme étant du Lucifer Valentine à la française. Découpages, mutilations d'organes sexuels, vomissements non simulés, cannibalisme. Un véritable déluge de fluides divers et de perversion devant un public ébahi, d'une extrémité d'autant plus impressionnante quand on a l'action devant les yeux directement plutôt que dans un écran. Tellement d'ailleurs qu'un spectateur a du être évacué pris d'un malaise et que même un aguerri comme le réalisateur Kasper Juhl présent sur place semblait mal à l'aise et intimidé. Le côté participatif achevait de rendre cette performance un moment particulièrement éprouvant (dans le bon sens),mémorable et inédit. Je pense que de tout ce qui était proposé au festival, ça a du être l'évènement le plus marquant. 

    Pour conclure une fort sympathique édition 2018, ravi d'avoir enfin pu en être. En plus d'une sélection de films, certes inégaux mais toujours intéressants et de cette performance stupéfiante, ça a aussi et surtout été l'occasion de rencontrer des gens de qualité, certains que je connaissais depuis longtemps mais uniquement via le net et ce fut un véritable plaisir de partager quelques heures avec elles (elles se reconnaitrons si jamais elles me lisent). 

    Rendez-vous pris donc pour 2019 !

    P.S : les articles vont reprendre un cours plus soutenu donc prochainement, ça sera pas difficile en même temps, et il devrait donc y avoir diverses critiques à venir dans les prochains mois. 

    Aussi je serai présent fin août/début septembre au BUTFF à Bréda, si jamais celui qui lis ces lignes actuellement y vas qu'il n'hésites pas à me contacter, qu'on puisse faire connaissance (si ce n'est déjà fait) et aller boire une bière :)


    2 commentaires
  • Bonjour !

    Cela fait un sacré moment que je n'avais plus fait de mise à jour sur la collection. Voici donc tout ce que j'ai rentré en pièces intéressantes depuis le mois de novembre de l'an dernier (oui ça date !), dont une quantité impressionnante d'éditions magnifiques de chez Arrow Video.

    Aussi petite mise au point à venir prochainement, je peux juste dire pour le moment que le blog va surement reprendre de son activité ;) (vous pouvez comme d'habitude cliquer sur chaque image pour les afficher en plus grand) 

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018

    Mise à jour achats novembre 2017 à juin 2018


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  • Bonsoir :)

    Comme à l’accoutumée, je fais un petit article sur le Sadique Master Festival maintenant qu'une majeure partie de la programmation a été révélée. 

    News : Sadique Master Festival 2018

     Le festival est cette année rendu à sa quatrième édition et proposera cette année au programme :

    -Trauma un rape & revenge chilien ultra violent (plus d'infos ici)

    -Visions of Suffering Final Director's Cut, le nouveau film du génie Andrey Iskanov (Philosophy of A Knife, Nails) après des années d'attente et en exclusivité mondiale (plus d'infos ici)

    -Dead Hands Dig Deep, un documentaire unique en son genre sur un groupe de Metal aux performances extrême et au leader à l'esprit torturé (plus d'infos ici)

    -Torment, un film d'horreur sur John Wayne Gacy radical et très porté sur une déviance sexuelle poussée à son paroxysme (plus d'infos ici)

    -DIS, un métrage américano-argentin autour de la légende de la mandragore (plus d'infos ici)

    -Cat Sick Blues, un film australien mélangeant drame et comédie gore de manière décalée et déviante, le tout avec un pitch surprenant (plus d'infos ici)

    S'ajoute à cela une nouveauté très excitante, une performance porno/gore réalisée devant vos yeux durant le festival ! Infos disponibles ici : http://www.sadique-master.com/performance-pornogore-de-realistik-fx/

    Le jury se composera cette année d'Eric Falardeau, de Kasper Juhl et de Jerôme Vandewattyne sur lesquels vous pouvez avoir des infos en cliquant sur le lien suivant : http://www.sadique-master.com/jury-3/

    Les horaires ainsi que les invités, des courts métrages et une séance surprise sont encore à annoncer, ce qui fera surement l'objet d'un article de mise à jour d'ici début mars, peu avant le festival. En attendant vous pouvez suivre pour ne rien rater la page du festival : https://www.facebook.com/events/185525242001701/

    Les billets sont déjà en vente et peuvent être commandés en ligne : https://www.weezevent.com/sadique-master-festival-4eme-edition-2018

    Pour ma part je serai (enfin) présent cette année, bon festival à tous et pour ceux (les vilains) qui ne pourrons pas en être, vous pourrez toujours lire le report que je ferai concernant cette édition après coup ^^

    (si vous voulez plus d'infos sur l'histoire du festival, j'ai déjà écris il y a quelques temps un article à ce sujet : http://cannibalcunthorror.eklablog.com/decouverte-sadique-master-festival-a123593454 )

     


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  • Bonjour !

    Grosse mise à jour niveau films avec tout ce qui a été acquis depuis juin dernier. Il y a du très lourd et ce ne sont que des originaux, aucun bootleg :)

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

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    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017

    Mise à jour achats Juin à Octobre 2017


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  • Bonjour !

    Bon, grosse absence de ma part ici, pour diverses raisons, il est temps de faire repartir tout ça !

    Mes excuses déjà aux deux personnes m'ayant contacté pour faire une review que je n'ai finalement pas faite, bien évidemment je les ferai dès que possible maintenant ! L'activité du blog repartira surtout à partir de fin juin ;)

    En tout cas j'en profite pour faire une grosse mise à jour avec du lourd !

    News + Mise à jour achats Février à Mai 2017

    News + Mise à jour achats Février à Mai 2017

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    News + Mise à jour achats Février à Mai 2017

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