• Critique de Visceral : Between the Ropes of Madness de Felipe Eluti

    Année : 2013

    Réalisé par Felipe Eluti

    Résumé : Un boxeur raté perd peu à peu le sens de la réalité. Perdu, il sombre rapidement dans la démence. Sa colère et sa rage lui font faire des choses atroces.

    La critique de Cannibal Cunt :

    Je me remet enfin à la critique ! Et pour ce faire je vous propose aujourd'hui de venir faire un tour du côté du Chili, pays apparemment vierge jusqu'alors en terme de cinéma extrême. En effet je vais parler de Visceral : Between the Ropes of Madness, premier long-métrage du réalisateur méconnu Felipe Eluti.

    Critique de Visceral : Between the Ropes of Madness de Felipe Eluti

    Le scénario de Visceral : Between the Ropes of Madness est simple. Un boxeur perd son plus grand combat et perd l'espoir de faire carrière. Désespéré et enragé, il va sombrer dans la folie et , tourmenté par une entité, il va commettre par la suite toute une série de tortures et de meurtres. Un histoire fort simple donc, Felipe Eluti a intérêt à ne pas louper son coup au vu de son scénario assez basique. Heureusement, il n'en est rien. Le métrage est divisé dans le temps en deux parties, dont les séquences se mêlent entre-elles de manière assez étrange, la cohérence de l'ensemble se faisant au fur et à mesure des scènes. On assiste donc par morceaux épars à la préparation sportive du personnage principal (le boxeur donc) au combat de sa vie, à sa défaite et sa chute physique et mentale ainsi qu'a sa folie pure dans le vice, la violence et le tourment. L'aspect psychologique autour de ce personnage est bien travaillé et sa déchéance est plutôt bien montrée à l'aide de bon nombres de séquences judicieusement placées (fils renié par sa mère, carrière qui s’effondre, personnage constamment rabaissé). Le fait de perdre par moments le spectateur dans le temps avec un enchainement énigmatique de séquences est aussi une bonne idée, celui qui assiste au film sera alors déjà déstabilisé par la manière dont se déroule le métrage et les uppercuts de violences n'en seront que plus efficaces. Malgré ça Visceral : Between the Ropes of Madness n'est pas d'une habilité sans faille et certains moments sont un peu bancals (l'entrainement du personnage principal par exemple, assez peu convainquant notamment dans la réalisation peu intéressante), tout comme on ressens que le budget est de toute évidence sans doute bien faible. Mais au delà de ça c'est surtout dans la violence pure et viscérale (pour le coup le titre, en plus d'être extrêmement joli, est fort bien choisi et illustre bien ce dont il s'agit) que Felipe Eluti s'illustre le mieux.

    Critique de Visceral : Between the Ropes of Madness de Felipe Eluti

    En effet s'il y a bien une chose qui marquera à coup sûr la rétine de celui qui tentera le visionnage de Visceral : Between the Ropes of Madness, c'est la violence et la sauvagerie inouïe déployée, avec en plus des effets spéciaux vraiment bons. Le gore du film fait sacrément mal et la tension ne retombe presque jamais car quand une scène extrême n'est pas à l'écran, Felipe Eluti nous assène une scène dérangée psychologiquement autour du personnage et/ou à tendance dramatique. Bien que la réalisation ne soit pas toujours convaincante au niveau des plans (abus par moments de gros plans assez laids, chose que l'on retrouve souvent dans les films à petit budgets pour masquer la pauvreté d'un décors par exemple) , elle gagne justement en inventivité lors des scènes violentes. Le métrage multiplie les cadrages douloureux et les scènes barbares sont filmées avec une inventivité surprenante et qui fait plaisir. Les tortures et mises à mort sont diversifiées, avec notamment du bondage (l'entité venant tourmenter le boxeur se rapportant justement au sadomasochisme, avec un design assez réussit d'ailleurs). La création de scènes gores avec des cordages un peu partout donne d'ailleurs une esthétique particulière au tout. Une esthétique qui se mêle parfaitement à l'ambiance glauque et poisseuse, on nage en plein cauchemar fétichiste dégénéré. Le jusqu'au boutisme global de l’œuvre impressionne et fait presque oublier les moments bancals ou trop peu développés (voir pas développés selon les situations). Ce n'est pas parfait, loin de la, mais pour un premier long métrage ça frappe fort avec de quoi marquer les goreux endurcis !

    Critique de Visceral : Between the Ropes of Madness de Felipe Eluti

    Avec sa violence absolue et inouïe (psychologique et physique), son gore viscéral et ses sévices variés, son ambiance sombre et prenante qui rattrape l'aspect bancal de certains éléments du film ce premier long-métrage de Felipe Eluti est assurément un des incontournables récents pour tous les amateurs d'extrême. Ce n'est pas génial mais en tout cas ça promet fort pour l'avenir de ce réalisateur chilien, en espérant qu'il continuera dans cette voie.


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  • Bonsoir !

    Tout d'abord désolé pour mon manque de présence sur le web ces derniers temps (peu de temps au final mais bon) mais j'ai eu des problèmes assez conséquents de connexion internet !

    De nouvelles critiques arriveront aussi vite que je le pourrais, à savoir surement courant de la semaine prochaine et en attendant voici un petit bilan de mes dernières rentrées en films.

    Sur la première photo chaque DVD a été payé 2 euros, le Nymphomaniac également. Le Elvifrance a été récupéré en vide grenier pour 50 centimes. Sinon l'édition Clam Shell Box de Adam Chaplin (vraiment énorme, le plus gros "boitier" en ma possession juste pour un DVD) limité à 30 exemplaires (j'ai le 14/30) m'est revenu à 30 euros et je remercie au passage Daniel Koehnen et son petit label sympathique. :)

    Nouveaux achats du 27 juillet 2016

    Nouveaux achats du 27 juillet 2016

    Nouveaux achats du 27 juillet 2016

    Nouveaux achats du 27 juillet 2016

    P.S : ça fait au passage maintenant 10 jours que le blog a un an d’existence, je préparerais bien quelque chose de spécial pour fêter ça mais je ne sais pas si j'aurais le temps. ^^


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  • Bonjour à tous !

    Réception aujourd'hui de la rare Hardbox (ltd à 200 exemplaires) de Vomit Gore 4 ainsi que le très joli Leatherbook (ltd à 189 exemplaires) de la Snuff Tape Anthology (dont je vous parlerais surement) !

    Les deux pour 60 euros fdp compris, un très bon prix ! Un énorme merci à Petri !

    (allez hop, double photo qui sert à rien pour exprimer ma joie :hap:)

    Commande reçue du 11 juillet 2016

    Commande reçue du 11 juillet 2016


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  • Salutations nocturnes !

    Commande assez importante reçue aujourd'hui avec 3 VHS Uncut Movies, un fanzine et du reste il s'agit de t-shirts et coffrets Black Metal. Le tout pour 70 euros frais de port inclus !

    Merci à toi Clément !

    Commande reçue du 9 juillet 2016

    Commande reçue du 9 juillet 2016

    Commande reçue du 9 juillet 2016

    Commande reçue du 9 juillet 2016


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  • Critique de Meat Butcher Baby de Yan Kaos

    Année : 2009

    Réalisé par Yan Kaos (alias Nekro Kaos)

    La critique de Cannibal Cunt :

    Amateurs de gore underground sans budget bien le bonsoir ! Seconde fois que je vous parle de Yan Kaos sur ce blog, la dernière fois étant pour évoquer le sympathique Necromance : A Love Story duquel je suis ressorti avec l'envie d'en voir plus de ce réalisateur. Je vous propose donc aujourd'hui de parler du court-métrage Meat Butcher Baby datant de 2009 et étant le second mis en scène par Yan Kaos après un Wrong Dose, Bad Reactions réalisé l'année précédente. Attention : spoilers ! Mais au vu du genre, le fake snuff, pas de quoi gâcher le visionnage à l'imprudent qui lirait la chronique avant de l'avoir vu. Je précise également qu'il y a deux versions de ce court-métrage : une en couleur et une en noir & blanc et, comble de la joie, cette chronique prendra en compte les deux (si c'est pas merveilleux ^^) !

    Critique de Meat Butcher Baby de Yan Kaos

     Meat Butcher Baby s'ouvre sur une femme au sol qui se fait trainer jusque dans une salle de bain par un homme masqué (le même masque que sur la cover du DVD au-dessus) et finit dans une baignoire. Puis elle se fait éventrer brutalement (le tueur sortant ses intestins de la plaie béante parcourant son ventre lors d'une assez longue séquence), retirer les yeux de leurs orbites (orbites vides qui sont ensuite tourmentés par divers choses les pénétrants), massacrer le visage à coups de hache, couper les membres ... Voila qui promet un véritable festival de gore donc ! Avant de venir aux défauts, tous mineurs voir insignifiants sauf un qui lui pour le coup est vraiment handicapant, je me dois de parler du principal atout de ce court-métrage : l'ambiance. Tout d'abord visuellement, dans la version en couleur on retrouve une caméra de mauvaise qualité qui s'inscrit parfaitement dans le contexte fake snuff et n'est pas sans rappeler les fameux August Underground. La réalisation est très simple mais il n'en faut pas plus couplé au visuel pour impliquer le spectateur et le faire rentrer dans l'univers de Meat Butcher Baby. Dans la version en noir & blanc j'ai presque envie de dire que ça rend encore mieux, ça donne vraiment du charme au métrage. Au niveau sonore il s'agit de la même bande son peu importe la version, et pareil il s'agit de bruitages malsains qui aident encore plus à donner une atmosphère malaisante au tout. Alors certes les bruits émis par le tueur sont un peu agaçants à la longue car répétés un grand nombre de fois et on repère un ou deux faux raccords mais ce Meat Butcher Baby est bien parti pour être un petit fake snuff de très bonne facture. Mais voila le gros problème : les effets spéciaux !

    Critique de Meat Butcher Baby de Yan Kaos 

    Ceux ci sont tout simplement totalement invraisemblables. Aucun réalisme et même au delà de ça ils ne rendent pas bien visuellement. Un vrai problème pour un métrage censé nous immerger dans un univers malsain et réaliste comme est censé le faire un fake snuff ! Alors bien sur ce n'est pas la faute de Yan Kaos : il fait ses effets lui même avec passion et les moyens du bord, c'est à dire pas grand chose. Mais la ou dans Necromance : A Love Story les effets, bien que cheap et avec j'imagine pas beaucoup plus de budget, passaient pour moi plutôt bien à l'écran (non seulement car le ton du film est différent et aussi car ils étaient tout de même meilleurs) ici ça m'a presque totalement déconnecté de Meat Butcher Baby ! Disons le : les effets gore sont vraiment très mauvais ... Et l'expérience perd grandement de son intérêt ainsi. Selon la version certains effets passeront mieux que d'autres mais globalement c'est raté.

    Critique de Meat Butcher Baby de Yan Kaos

    Meat Butcher Baby aurait donc tout pour plaire mais les effets spéciaux vraiment mauvais par manque de budget gâchent l'expérience. Malgré tout ce court-métrage a tout de même le mérite d'avoir été une source d'inspiration pour certains comme par exemple pour les Snuff Tapes (dont je vous parlerais surement un jour), de contenir de bonnes idées (même si rien de révolutionnaire) et a été fait avec de bonnes intentions par un réalisateur passionné. De plus, pour parler de temps en temps avec Yan, c'est quelqu'un de vraiment passionné et qui semble s'améliorer de films en films. Déjà avec Necromance : A Love Story bien plus recommandable en tout points et récemment avec Blood Orchestra : Cacophony of Death que je n'ai pas encore vu mais que son créateur décrit comme sa meilleure création ! J'y jetterai donc un œil à l'occasion ainsi qu'a Meat Butcher Baby 2 car si il m'offre la même chose avec de meilleurs effets gore moi je suis preneur ! 


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  • Critique de The Redsin Tower de Fred Vogel

    Année : 2006

    Réalisé par Fred Vogel

    Résumé : Kim est déchirée après avoir largué Mitch, son copain depuis 6 ans qui tente de regagner son amour à tout prix. Persuadée par sa meilleure amie d'aller à une soirée de folie pour se changer les idées, Kim accepte de se joindre à un groupe d’amis pour faire la fête. Quand la police interrompt abruptement la petite fête avant même que le groupe ne s'y rende, les jeunes gens décident que la soirée se déroulera au beau milieu de la plus vieille légende urbaine de la ville : la Redsin Tower. Le cœur brisé et aveuglé par la vengeance, Mitch les pourchasse avec la ferme intention d’éliminer quiconque se placera entre lui et Kim. Malheureusement pour eux, Mitch ne sera pas la seule menace une fois à l’intérieur de la Redsin Tower.

    La critique de Cannibal Cunt :

    Le retour de Fred Vogel et de Toetag sur ce blog ! En effet, il y a déjà un bon moment, je vous avais parlé de Murder Collection Vol.1 concluant en ces mots : " Murder Collection Vol.1 est un film raté, ce n'est pas une bouse infâme non plus et ma critique donne peut-être l'impression qu'il est extrêmement mauvais, alors qu'il a ses qualités. C'est surtout le manque d'intérêt de l'ensemble, par delà le réalisme, qui est gênant et, au contraire d'un August Underground, le film ne justifie pas vraiment son voyeurisme puisque il ne nous transmet pas d'émotions ni de réel message. Les amateurs d'extrême curieux peuvent toujours allez y jeter un œil, il existe bien plus mauvais dans le genre. Mais ne vous attendez pas à grand chose. Radin en gore, longuet et manquant globalement d’intérêt le mot de la fin sera le suivant : mieux vaut voir ou revoir la trilogie August Underground, elle délivre 100 fois plus d'émotions, de gore et de séquences hallucinantes !". J'ai ensuite vu Maskhead, qui lui pour le coup est vraiment une bouse infâme et à éviter quoi qu'il arrive, oui à ce point la ! J'avoue donc que j'avais quelques craintes envers The Redsin Tower ... Et si Fred Vogel ne savait rien faire de vraiment bon en dehors du fake snuff ? Heureusement cela ne semble pas être le cas : The Redsin Tower s'est imposé à mes yeux comme le meilleur film du sieur après sa célèbre trilogie August Underground ! (je précise que je n'ai pas encore vu Sella Turcica, donc je ne le prends pas en compte)

    Critique de The Redsin Tower de Fred Vogel

    Commençons par ce qui m'a le plus surpris : la qualité de la réalisation. J'avais trouvé celle de Maskhead hideuse, très bancale, sans aucune inspiration et fort amateure. Je m'attendais donc logiquement à une mise en scène du même cru et je n'ai que mieux apprécié cette réalisation réussie. Même si on sent bien que c'est un film à petit budget, le tout est filmé de bien belle manière et c'est assez professionnel : l'image est globalement belle (bien que parfois trop sombre lors de certaines séquences dans la tour), Fred Vogel se permet de jouer pas mal avec la caméra et propose de nombreux plans intéressants. Ce qui fait toujours plaisir dans une petite production gore : rien qu'au niveau technique on constate un réel soin apporté à l'œuvre. Maintenant le film n'est pas exempt de défauts, loin de la, le plus embarrassant étant le rythme du métrage. Basé sur un scénario déjà fort peu original (bien que suffisant), le film se déroule vraiment lentement et met presque 40 minutes à démarrer. Et ces 40 minutes sont assez peu intéressantes par ailleurs, servant uniquement à nous exposer, bien trop lentement, la base de l'intrigue. Pour quelque chose d'aussi simple, il aurait été préférable de faire plus court pour rapidement recentrer le gros de l'action dans la tour. D'autant plus que globalement la seconde moitié du film est fort réussie ! L'ambiance à l'intérieur de la Redsin Tower est vraiment pesante, les scènes sont parfois trop sombres ce qui gâche quelque peu la tension que dégage les séquences mais dans leur globalité elles recèlent une atmosphère lugubre délectable. L'œuvre de Fred Vogel bénéficie de surcroit d'acteurs à la prestation de qualité bien que leurs personnages peu originaux (sans tomber dans de parfaits clichés) n'ont pas toujours de bons dialogues en leur faveur.

    Critique de The Redsin Tower de Fred Vogel

    Mais bon fieffés coquins, je sais ce que vous attendez surement d'une chronique qui parle d'un film de chez Toetag : le moment est donc venu de vous parler du gore du film ! Sans surprise les effets gore sont excellents, si j'avais au moins une certitude avant de commencer le visionnage de The Redsin Tower c'est celle-ci. En effet Toetag nous a habitués à leurs effets spéciaux au réalisme parfait et ils remettent le couvert ici ! Au programme des festivités : accouchement particulièrement graphique, jambe amputée, gorges tranchées ou encore ventre qui se perce de l'intérieur laissant les viscères s'étendre sur le sol. Malgré tout le film n'est pas extrêmement gore, bien que quelques moments de bravoure sont bien présents (la première scène gore du film sous forme de flashback lorsque le personnage de Carl raconte le passé sanglant de la tour), mais le gore est tout de même suffisamment abondant pour valoir le coup d'œil. En outre le métrage nous offre un mélange intelligent d'esprit démoniaque (on ressent une grosse influence du chef-d'oeuvre Evil Dead du maître Sam Raimi, par exemple lorsque la caméra s'envole rapidement dans les couloirs, visualisation de l'esprit démoniaque qui se déplace pour traquer les personnages et même dans l'aspect visuel et le comportement des possédés) et de slasher avec le personnage de Mitch qui n'hésite pas à faire aller de la hache contre les personnes qui se dressent entre lui et celle qu'il aime, Kim. Au final oui, The Redsin Tower vaut le coup d'œil malgré un début laborieux et je le répète, c'est ce que j'ai vu de plus convainquant de la part de Fred Vogel et Toetag en dehors de ses trois August Underground !

    Critique de The Redsin Tower de Fred Vogel

     Critique de The Redsin Tower de Fred Vogel

     Au final un petit film gore indépendant solide, bénéficiant d'une bonne réalisation et d'un gore convainquant, à la première moitié malheureusement trop longue mais qui se rattrape largement sur la seconde. Malgré tout le métrage n'est pas exceptionnel, c'est sympathique et les amateurs devraient apprécier, mais pas la peine non plus de se précipiter dessus de toute urgence. J'irai donc en tout cas jeter un œil avec intérêt sur Sella Turcica en espérant celui-ci soit du même tonneau !


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  • Bonsoir !

    Petit bilan des achats effectués en une semaine !

    Avec au menu pas mal de musique mais bon après tout je fais ce que je veux hahaha :p

    Tout d'abord on a ces magnifiques VHS des deux Nekromantik payées 12 euros chacune, un très bon prix ! Ensuite le fameux Salo ou les 120 journées de Sodome payé 2 euros. Niveau Musique les CDs ont étés payés 2 euros sauf le Body Count pour 1 euro, pour la BO d'Orange Mécanique elle m'est revenue à 3 euros et pour les trois autres vinyles de Heavy Metal 10 euros les 3 ! Pour la dernière photo le tout m'est revenu à 22 euros !

    Bon sinon j'ai changé d'appareil pour prendre mes photos, elles sont donc maintenant d'un peu meilleure qualité :) 

    Nouveaux achats du 6 juillet 2016

    Nouveaux achats du 6 juillet 2016

    Nouveaux achats du 6 juillet 2016

    Nouveaux achats du 6 juillet 2016


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  • Bonsoir !

    Petit article pour parler de The Unkindness of Raven, disponible en pré-vente (dans une édition un peu chère mais qui a l'air très belle et comporte Blu-ray/dvd et la BO sur CD), et dont la bande annonce dévoile déjà un film au potentiel certain !

    News : The Unkindness of Raven

    http://www.theunkindnessofravensmovie.com/#!shop/ck0q

    Je vous laisse également la convaincante bande annonce :


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  • Salutations !

    Nouvelle réception après un petit temps mort !

    Nous avons en DVDs Meat Butcher Baby de Yan Kaos (le réalisateur de Necromance : A Love Story dont je vous avais déjà parlé) payé 15 euros ainsi que Like In the Movies, un film pornographique émétophile, payé 20 euros et dont je vous parlerais peut-être si le contenu de ce dernier est suffisamment intéressant pour en faire une chronique.

    Pour les tapes ce sont des originales des années 90 de Graveland, groupe culte de Black Metal, elles me sont revenues à 10 euros les 4 !

    Un grand merci à Tasmdead :)

    Commande reçue du 30 Juin 2016


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  • Bonsoir !

    Un remake du célèbre Blood Feast de Herschell Gordon Lewis, le premier film gore de l'histoire du cinéma, va sortir !

    Je vous avouerais que sur le coup ça m'a paru ne pas être la meilleure idée possible en soit de faire un remake de ce film, mais j'ai ensuite appris que le réalisateur n'est autre que Marcel Walz, déjà responsable entre autres des sympathiques et surtout fort gores La Petite Mort 1 et 2.

    Pas de mauvaise langue donc, le résultat peut donc être franchement sympa et en tout cas, je l'espère et la bande annonce semble l'indiquer, fort gore !

    P.S : J'en profite aussi pour rapidement glisser quelques mots sur le blog, qui tourne un peu au ralenti à cause de nombreux projets que j'ai à côté et qui font que je manque de temps pour apporter du nouveau contenu. Mais je vais essayer de vous fournir de la chair fraiche (ou en décomposition selon ce dont je vous parlerais) très prochainement.

    J'ai aussi la joie d'annoncer que l'on m'as recontacté par rapport à ma chronique de Beyond the Madness de Luigi Zanuso, et une citation de ma critique figurera sur la cover du DVD. C'est peut-être rien mais ça me fait ma foi très plaisir. ^^ 


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